Vendredi 18 Octobre Entrée au Burkina Faso. La 1ère bonne impression, c’est d’entendre parler français. Nous nous sommes bien remis à l’anglais depuis le mois de mars, mais pouvoir parler notre langue, c’est quand même plus facile pour nous. Ca fait du bien. Nous payons un laissez-passer pour la voiture, 5000 Francs CFA (7,6€). A 13h, nous retrouvons avec un grand plaisir Christiane et Christian à l’hôtel « le Pavillon Vert » à Ouagadougou. Ils doivent récupérer leurs passeports avec le visa de l’entente à 16h. C’est parfait… Nous ne pouvons pas dormir dans notre camion, il n’y a pas beaucoup de place pour se garer. Nous prenons donc une chambre, à 23€. C’est un peu cher pour le confort proposé…mais l’extérieur est agréable et il y a la wifi. Christian(e) nous ont apporté de la bonne saucisse sèche et du fromage de chèvre. Un vrai régal ! Il s nous ont également apporté un ordinateur CF-T2 que nous avions à la maison, pour remplacer celui dont l’écran nous a lâché à Accra. Gilbert a du passer quelques heures pour tout configurer et transférer les fichiers et programmes nécessaires. Demain nous prenons la route avec nos nouveaux passagers, vers le Benin. Comme avec Joris et Gwladys en juillet, il va falloir s’organiser ! Samedi 19 Octobre Toutes les affaires sont rentrées dans Griz’land. La valise est sur le toit. Nous avons 250 km de goudron jusqu’à Fada N’Gourma. Cette 1ère étape se déroule sans problème. Christian(e) s’installent à l’arrière. Les paysages sont de plus en plus arides mais il y a encore beaucoup d’eau partout. Nous sommes à la fin de la saison des pluies. 1ère pause picnic avec Christian(e) A Fada N’Gourma, nous passons la nuit à la « Belle Etoile », Christian(e) prennent une chambre et nous dormons dans la cour pour 6€ la nuit. Les équipements sont sommaires, mais il y a une cuisine à disposition et la wifi. Nous passons une partie de la soirée avec des enfants du quartier. Dimanche 20 Octobre Nous faisons quelques courses au marché de Fada N’Gourma, le plein de gasoil avant de nous diriger vers le Benin. Le passage de la frontière se passe sans problème. Côté Burkinabé, un policier prend nos passeports sur le parking et nous les ramène quelques minutes plus tard. Ensuite, nous rendons le laissez-passer de la voiture au poste des douanes. |