L'AFRIQUE EN 4x4
 
 
 
 
mise à jour le 10/03/2020                    En cours          
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Vendredi  26 Juillet

Avant de quitter le « Sedia Hôtel », et internet, nous prenons le temps de mettre à jour « Tourleader », de lire et envoyer quelques messages. Nous faisons tous les pleins, eau, gasoil et nourriture. Enfin bref, quand nous sortons de Maun, il est 13h passé.

130km de bitume pour arriver à l’entrée du « Nxai Pan ». Les 2 campings proposés coûtent 20€/pers. Tant pis pour « Nxai Pan », ce n’est pas notre priorité.

Nous avons repéré une entrée de « Makgadikgadi Pan » sur la même route à quelques kms en revenant vers Maun. Malheureusement pour nous elle est fermée, bien que nous soyons dans le créneau des horaires d’ouvertures affichés ! Ce n’est pas grave, nous pouvons rejoindre Kumaga, par la route de Rakops.

A Kumaga, il y a une entrée du parc et un camping.
Nous tentons un petit « raccourci » par une piste affichée sur la carte … Mais, Oups ! Il y a beaucoup d’eau dans la rivière Boteti ! Demi-tour et retour sur la route.

Bref, avec tous ces petits aléas, à 17h30, nous sommes à Kumaga devant le bac sur la rivière Boteti ; le parc et le camping sont sur l’autre rive. Pas question de traverser sans savoir ce qui nous attend, donc nous pensons sérieusement à bivouaquer cette nuit. Nous essayons quand même une piste sablonneuse qui rejoint un Lodge indiqué sur la carte et qui pourrait accepter les campeurs. Nous sommes stoppés devant une double clôture fermée  et électrifiée.

Décidemment, ce n’est pas la journée la mieux organisée du voyage ! Nous ne pouvons même pas bivouaquer à cet endroit, parce que le sable est très mou sur la piste et sur le bord, et nous ne voulons prendre le risque d’être bloqués.

C’est donc sur une aire de picnic entre Kumaga et Rakops que nous passerons la nuit à 0€/pers !!



Samedi  27 Juillet
La nuit a été courte et le sommeil léger. Nous n’avons pas été dérangés, mais il y a eu un peu de circulation dans la nuit et à deux reprises, des gens se sont arrêtés et ont discuté un moment sur le parking.

A  7h30 nous repartons direction Rakops et le « Central Kalahari National Park » où nous allons pouvoir passer plusieurs jours puisque nous n’allons plus à « Makgadikgadi et Nxai Pan ».


Dans la voiture, je relis la feuille concernant les organismes qui gère les campings, que le DWNP m’a donnée à Maun… et je découvre, qu’il n’y a pas que les campings privés sur ce document !! Le dernier paragraphe liste les campings gérés par le DWNP. Ils sont tous dans le Central Kalahari !

Il m’a fallu 1 semaine pour lire correctement ce papier, après avoir râlé contre le manque de clarté sur les campings…peut-être que les vacances prolongées, ça me ramollit le cerveau.

La piste reliant Rakops au Central Kalahari National Parc est très sablonneuse.  Par endroit, on croirait un paysage de neige.


Vers 10h, nous sommes à « Matswere Gate ». Après nous avoir dit qu’on aurait du réserver avant, les 2 employés font le nécessaire pour nous trouver 3 nuits à 3€/pers./nuit, dans le Parc.

Nous découvrons notre 1er camp, à Deception, vers midi. La aussi, il fallait lire… il n’y a pas d’eau ! Pour la douche, il y a un seau suspendu à remplir avec notre eau.


De ce côté-là, nous sommes beaucoup mieux équipés avec notre douchette et notre réservoir d’eau chaude, ce n’est pas un souci. Il faut que nous soyons attentifs pour être totalement autonomes pendant 3 jours.

Nos voisins de camping :

    

Loin de la rivière Chobe et de l’eau de l’Okavango, le Kalahari est un désert. Une réserve sans éléphant ni hippopotame

Nous faisons une petite boucle pour faire connaissance avec ce nouvel environnement. Les paysages sont très arides, avec très peu de points d’eau pour les animaux. On se demande comment ils arrivent à vivre ici.


Pas de doute, nous sommes au pays des Gemsboks, (famille de l’Oryx).



Les écureuils terrestres :


    

Dimanche  28 Juillet
Nous partons pour une boucle de 145km.
La faune est différente des parcs précédents. Les animaux se font plus rares. La « chasse » en est d’autant plus palpitante. Chaque image est une récompense.

Les Impalas ont disparu, remplacés par les Springboks




Nous croisons des petites familles de girafes et de koudous



Petit chacal qui se cache.

    

Les Steenbocks sont nombreux, mais difficiles à photographier : Ils sont petits, 60cm, et s’ils ne sont pas cachés, ils se sauvent….



 

 




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